Télétravail et balance

Moi, Depuis le premier confinement, je n’ai pas renouvelé les piles. Économie de bouts de chandelle ! Ma garde robe me donnait à peu près la même info : Ma silhouette a évolué. Pourtant, je peux vous promettre que les sieurs Uber et Deliveroo ne connaissent pas la maison. Parce que ceux-là, pour faire bouger l’aiguille de cet engin sont assez balaises !

Télétravail  et balance, petits soucis du quotidien.

Oui petits soucis, car s’ils nous prennent la tête au quotidien, il existe des choses plus grave dans la vie, question de regard.

Parce que je ne suis pas d’un naturel pessimiste et rabat-joie, je ne vous parlerai pas d’économie, de précarité, de santé, de solitude et de liberté…Les médias s’en chargent bien assez !
Télétravail, et balance donc vous dit le titre…

Tellement de critères rentrent en ligne de compte !
A nouveau la temporalité et le rythme de nos journées sont bousculés.
Les horaires sont difficiles à respecter, et le temps que nous passions à notre déplacement sur le lieu de travail est souvent converti en temps supplémentaire sur notre lieu de travail : l’ordinateur.

N’est-ce pas ?

Balance et rythme

Que ce soit le soir ou le matin, il y a facile une heure de plus… à moins d’avoir installé une autre activité.
Et puis comme on s’ennuie des autres, on va sur les réseaux dit sociaux pour les apercevoir, et on « scroll »…

Et puis la balance… ah la la !
Moi, Depuis le premier confinement, je n’ai pas renouvelé les piles. Économie de bouts de chandelle ! Ma garde robe me donnait à peu près la même info : Ma silhouette a évolué. Pourtant, je peux vous promettre que les sieurs Uber et Deliveroo ne connaissent pas la maison. Parce que ceux-là, pour faire bouger l’aiguille de cet engin sont assez balaises !

Plusieurs raisons

Bien sur, le grignotage aurait pu être soupçonné, mais sincèrement, pas tant que ça : Comme je faisais de vrais repas, je n’avais pas faim et n’étais pas toujours la tête dans le frigo. Bon ok, l’apéro de temps en temps, l’alcool étant celui qui transforme les sucres en graisses, cela doit aider dans la réduction de mes pantalons. Bon, 2 fois par semaine, ça ne me paraît pas si grave.

Il doit y avoir autre chose. Ce n’est pas nouveau tout ça ! Je pratique ce rythme depuis longtemps sans incidence sur ma penderie.

Et puis, je suis retournée travailler en vélo, et les jours où je ne travaillais pas, j’étais tout de même active physiquement. Et là, tout doucement, curieusement, moins fatiguée, moins essoufflée au moindre geste… pourtant j’avais pris l’habitude de marcher régulièrement, sans doute pas assez, pas assez vite…

En fait, un premier point dont je ne vous ai pas encore parlé est … tadatada, roulement de tambours… la sédentarité ! Savez vous qu’elle est aussi nocive que l’alcool et le tabac ? Voici une vidéo qui l’illustre très bien :

J’ai adopté depuis un autre rituel qui me convient.

En ce moment, on a tout de même plus de probabilité de faire bouger l’aiguille  de la balance dans le bon sens ou alors de la laisser bien en place : nous avons un peu plus de possibilités de sortir sans trop de risques. Les parcs sont ouverts, et nos rythmes de vie ont déjà un peu évolué : nous cuisinons plus, nous avons appris au fur et à mesure à mettre d’autres habitudes en place.

Esthétique ou non

Je continue de me faire à manger, des plats sains et gourmands… rien de neuf sous le soleil printanier. Et comme d’habitude, au printemps, on se demande comment être joli(e) en maillot ou en short… on n’a pas encore perdu tout le surplus de l’année dernière, donc faisons en sorte de ne pas rajouter une couche de plus !

Sans être une question d’esthétique, ce poids que la balance jauge, j’ai à le porter, au quotidien. Mes organes doivent contourner ou traverser ces petites couches successives pour fonctionner au mieux, pour que ce soit plus facile d’être en mouvement, plus facile de contacter cette motivation qui parfois me manque, et cette si belle énergie qui parfois déplaçait des montagnes.

Certainement, travailler à la maison est difficile, surtout quand on fait l’école en plus. Nous perdons la notion du temps. Et pourtant tout doit être fait encore plus vite, le travail à rendre est pour hier…

Le poids du quotidien

Voici donc un autre facteur important : le poids du quotidien, l’incertitude, la morosité environnante déclenche une protection toute naturelle, comme un tissu dont je me drape, pour me protéger du froid. Ce tissu dit adipeux est aussi une forme de protection… contre ce qui me « gonfle ».

Alors, je profite de ce temps pour dégonfler tout ça, et mine de rien, cela va plus vite que je pensais, transformer les idées en envies et réalisations, et sincèrement, je ne sais toujours pas ce que me dit la balance, mes pantalons se stabilisent, l’énergie est aux environs… et puis, je n’y pense plus.

La balance n’est qu’un informateur d’une globalité. L’alimentation, la sédentarité, l’humeur, l’environnement… Chacun a son point fort pour avoir du pouvoir ou non sur cette information.

Et là ma question est : est-ce important ?

La réponse vous appartient. Et à vous seul. Est-ce que vous gardez ? Est-ce que vous faites évoluer ? Que mettre en place pour arriver à gérer ces « petits soucis» du quotidien, avant qu’ils ne deviennent de vrais problèmes à plus long terme.

Si vous vous reconnaissez dans ce texte, que vous avez envie de faire la paix avec ce tempo et la balance, je serai ravie de vous offrir un moment d’échange lors d’une séance diagnostique de 30 min.

Manger par peur ou par faim?

Se mettre à table, moment très apprécié en France, n’est pas forcément synonyme d’avoir faim.

Manger par peur ou pour se rassurer :
De façon surprenante, je ne vous parlerai pas ici de l’inquiétude de la qualité des produits que l’on met dans son assiette.

Se mettre à table, moment très apprécié en France, n’est pas forcément synonyme d’avoir faim.

Les raisons sont nombreuses :

– La tradition, l’habitude, on mange trois fois par jour.
– La convivialité, entre collègues (un jour, cela reviendra), en famille, le repas n’est pas seulement se nourrir, c’est aussi partager, se raconter.
– Le plaisir des sens : l’odorat, les yeux, le goût, les textures, tout un tas de raison d’apprécier se mettre à table.
– La politesse, c’est l’heure, on nous attend, on a préparé à manger pour nous.

Et il y a aussi, celle plus fréquente qu’on ne le croit :

– Manger par peur d’avoir faim plus tard.

Rassurante et fatigante précaution

Être sur d’avoir notre stock d’énergie plein et disponible (un peu comme remplir le réservoir d’essence de la voiture pour tenir la distance).
Mais sincèrement, manger alors que vous n’avez pas faim peut être fatigant : Le corps au mieux de sa forme utilise 75 % de son énergie à la digestion (quand on mange sain, léger, en bonne compagnie, etc). Imaginez quand on n’a pas faim !

Pour ma part, cela m’arrivait souvent le matin :
J’aime manger une ou deux heures après m’être réveillée : ma tête se réveille plus vite que mon corps °=°. En tant qu’auto-entrepreneure, je travaille  à la maison la plupart du temps. Je peux donc écouter mon corps et prendre un petit déjeuner à 9 :30 plutôt qu’à 7:00.
Et les jours où je savais que ma journée allait être longue et physique, je mangeais copieusement. Je n’allais quand même pas me lever 2h plus tot ! Et bien… je trainais toute la matinée, et je compensais en buvant 2 ou 3 cafés. Bon, ça fonctionne, sur un temps. Mais sincèrement, pas sur la durée !

Maintenant, en prévision d’une grosse journée, je prends quelques fruits, pour avoir leur sucre, avec un grand bol de thé et je file avec quelques amandes dans la poche… pour me rassurer, moi aussi j’anticipe la faim ! Et en général je les oublie, car je suis occupée et ne pense pas à manger, puisque je n’ai pas faim. Et je ne suis pas plus fatiguée en fin de journée.

sensations et comportements alimentaire

Les comportements alimentaires sont surprenants, illogiques au possible, mais les sensations n’ont rien de logique, c’est bien connu !
Chez un écureuil, ou un ours, une marmotte, c’est vital de faire des provisions pour plus tard. Pour nous qui ne dormons pas tout l’hiver, coincés par quelques blocs de neige, je pense qu’il serait raisonnable d’attendre d’avoir faim pour manger.

Quand on sait que le jeûne est une thérapie reconnue et efficace, pour guérir bien des pathologies, parce que le corps a une capacité de régénérescence fantastique, on peut se poser la question sur la légitimité de cette peur, de nos comportements rassurants.

Tous ces comportements sont légitimes, ils nous ont aidés à être ce que  nous sommes, nous ont protégés par moment, fait grandir à d’autres. Accueillons-les avec gentillesse et faisons le point si nous voulons les faire évoluer.

Le plaisir d’être à table, de manger, manger ce dont on a besoin, au bon moment. Je vous accompagne pour que ces changements soient confortables.

Et vous, est-ce que cela vous arrive ?
Voulez-vous transformer cette peur de manquer d’énergie ?

 Film sur le jeune , une nouvelle thérapie (les découvertes à ce propos ont quelques dizaines d’années) : https://www.arte.tv/fr/videos/043980-000-A/le-jeune-une-nouvelle-therapie/

Le plaisir de la variété

Comme souvent répété, variété et diversité sont importantes : A mes yeux, et papilles, il est essentiel de varier son assiette.

Comme souvent répété, variété et diversité sont importantes : A mes yeux, et pour le plaisir des papilles, il est essentiel de varier son assiette.

Pour le plaisir des papilles et des yeux, pour l’ouverture d’esprit et la curiosité.
Aussi pour la bonne santé et un bon fonctionnement du corps humain.
Et bien-sur pour l’écologie : la planète fonctionne beaucoup mieux en petites multicultures.

L’un des ingrédients le plus consommé est le blé.


On le trouve quasiment partout : dans le pain, les gâteaux, les sauces, les pâtes, les céréales du matin, le couscous, les biscuits… parfois même dans la charcuterie… bref, un peu partout. Le souci essentiel est que votre corps ne reçoit qu’une seule sorte de nutriment.
Parce qu’il contient beaucoup de gluten, c’est d’ailleurs pour ça qu’on l’utilise partout, ses molécules ont tendance à développer les inflammations dans le corps. Sans l’arrêter complètement à moins d’y être allergique, il y a des alternatives qui nous permettent de nous régaler de temps en temps avec cette si bonne tartine de pain beurrée ou la tarte aux pomme de Tante Lucie…

Pour le petit déj, la tartine de pain (ou les céréales) est très présente en France. vous pouvez varier votre assiette en la remplaçant par des flocons d’avoine, dans une salade de fruits l’été, ou en porridge l’hiver. J’aime particulièrement le riz au lait le matin, ou pourquoi pas la semoule de maïs, cuite dans du lait, salée avec du fromage, ou sucré, suivant vos gouts. Les mueslis multi céréales sont intéressants aussi, comme leur nom l’indique, ils sont multi. Attention au sucre cependant. Les produits à base de châtaigne apportent de l’originalité.
Il est bien d’avoir un peu de féculent pour le carburant de la journée. Et de varier de jour en jour.

En résumé au petit dej : avoine, riz, orge, maïs, châtaigne…de la variété dans les féculents.

Dans un gâteau, remplacez une partie de la quantité de farine par de la poudre d’amande ou de noisette, la farine de riz, ou d’épeautre, de châtaigne, de pois chiche… il en existe beaucoup ! Plus de facile de garder un peu de blé tout de même : le gluten associé à la levure ou aux oeufs est ce qui permet de donner le moelleux, le gonflant aux gâteaux.

Pour la panure, essayez donc avec de la polenta… succès garanti.

Proposer du quinoa avec votre tajine ou votre couscous, en accompagnement de vos plats il est maintenant cultivé en France aussi. On fait des pâtes à base de quinoa ou de légumineuses qui ont une belle texture, contrairement aux pâtes sans gluten où l’on a ajouté je ne sais quoi pour les faire tenir.

La couleur de l’assiette : légumes et fruits

Pour les légumes, je vous invite à en avoir au moins 5 différents par semaine, préparés de façon différentes. Pas toujours évident au vu de la taille des légumes: si l’on mange facilement un poireau entier ou deux carottes, il vous prendra une petite dizaine de repas pour venir à bout d’un chou si vous êtes seul. Parfois, vous pouvez acheter ces gros légumes tel que le céleri, choux, potiron, pastèque, fractionnés en morceaux. Ou alors, investissez dans un congélateur et congeler vos préparations (maxi 3 mois après les avoir cuisiné) ou achetez des légumes surgelés, qui ont l’avantage d’être fractionnables en portions, déjà propres et épluchés.

Jouer à cache cache en les introduisant dans vos farces, vos sauces. Ils leur donneront une saveur incomparable et vous évitera les bouillons industriels en cubes. Par exemple, dans la sauce tomate, ajouter oignons, ail, carotte et céleri, des courgettes quand c’est la saison. Coupés en tout petits morceaux, pour une belle surface d’échanges, et être discret en visuel. La saveur des champignons cuits rappelle la saveur de la viande: ce petit gout salé que l’on nomme umami. Idéal pour éveiller les farces végétariennes. Dans les gratins, coupés ou hachés fins, les légumes se cachent facilement à ceux qui disent ne pas les aimer.

Vous pouvez au contraire les sublimer, de différentes façons :

– Les prendre de bonne qualité,
– Les faire cuire al dente à la vapeur,
– La cuisson au four, avec ou sans épices fait ressortir leur intensité
– En mettant en valeur leur couleur, par des découpes
–  En présentant un assortiment du même légume, préparé de façons différentes, un peu comme on gouterait le vin d’une même région…

Je serai ravie de vous apprendre à en utiliser plus.

Introduisez des fruits, frais ou secs dans vos plats. Ils rendent aussi gourmandes bien des préparations.

Pensez aux herbes fraiches, elles sont bourrées de minéraux et de vitamines, en plus d’apporter de la fraicheur aux plats.

Les laitages

En ce qui concerne le lait, il fait aussi partie des aliments les plus consommés en France. Si vous supportez les laitages, les différentes formes de yaourt sont excellentes pour apporter les probiotiques et renforcer votre flore intestinale, autrement appelée microbiote. Préférez les nature, le sucre ne fait pas bon ménage avec les intestins. Pour faire des crêpes ou une béchamel, vous pouvez le remplacer par des laits végétaux. Cela apporte variété sans vraiment changer le gout ou la consistance. Attention de les prendre nature et non sucrés.

L’association des fruits avec le fromage est souvent appréciée. Si possible, prenez plutôt vos fromages à la coupe. Méfiez-vous si vous avez un budget serré, regarder le prix au kilo pour vous faire une idée. Il est souvent plus cher que la viande, réputée pour être un post cher de l’alimentation.

Les protéines

La viande est encore le produit le plus consommé, même s’il est un peu en baisse ces dernières années. Elle acidifie votre corps quand vous en mangez trop et vous rend sensible aux inflammations et fatigue le système digestif. Pour varier votre assiette, pensez aux légumineuses, en complément de céréales pour vous apporter les protéines nécessaires. Voir mon article sur le sujet. On mange beaucoup de viande. Trop : les scientifiques affirment que, 2 fois par semaine est amplement suffisant. Bien des gens s’en passent et sont en pleine forme. Même les sportifs augmentent leurs performances en adoptant la nourriture vegan. Choisissez-la de qualité et fuyez les viandes à bas prix, elles sont pleines d’antibiotiques et souvent la bête a été mal traitée. Pas terrible pour vos intestins non plus.

Changer votre alimentation pour vivre selon vos valeurs et en bonne santé  :
Si vous êtes prêt à prendre soin de vous, grâce à une alimentation gourmande et saine, accessible, à vous impliquer, je vous propose de faire plus ample connaissance et d’échanger sur vos attentes au travers d’une séance de diagnostic que j’ai plaisir à vous offrir.
Cette séance de 30 minutes permet de confirmer que nous pouvons travailler ensemble, autant en terme d’entente que d’efficacité.

à l’heure de l’apéro

Question de fréquence

Un des points positifs du confinement, pour ceux qui bossent à la maison, c’est que l’on gagne du temps sur le transport, et donc, on a le temps de prendre l’apéro avant de diner. Souvent, c’est même l’occasion de trinquer par vidéo avec la famille, ou des copains que l’on avait pas si souvent que ça l’occasion de voir. Alors, apéro tous les jours ?!

Et puis, le beau temps, la pendule oubliée, cela fait deux critères essentiels pour se croire en vacances… non ? Un peu quand même, non ?

Et que fait-on en vacances ? On prend l’apéro ! Chouette !

Là, tout de même, j’attire votre attention que l’apéro tous les soirs, c’est top, à condition de limiter l’alcool pour votre santé :

Il est reconnu scientifiquement, et pas que, qu’un verre d’alcool par jour, a un impact sur la santé. Surtout quand le déplacement du canapé à la salle de bain, puis à la table à manger pour retourner au canapé est la seule activité physique que vous pratiquez…

Et oui, un verre de vin, ou un verre de bière est considéré comme de l’alcool. Soit, les autorités de santé recommandent de ne pas boire plus de 3 verres, si on est un homme, et de 2 si on est une femme (question de corpulence, n’y voyez pas de sexisme). Mais tout de même, c’est pas cool de le pratiquer tous les jours.

Sachez, que c’est bientôt l’été, et que l’alcool entre dans le métabolisme d’assimilation des sucres et des graisses : tout ce petit monde vient directement enrichir le tissu adipeux que l’on met sous les maillots de bain.

Vous pouvez récupérer diverses maladies tels que problèmes  au niveau cardiaques, sur votre foie, votre peau, sur les neurones, sur l’humeur, le microbiote, l’hydratation du corps, cancer… bref. Un verre ça va, tous les jours, bonjour les dégâts !

J’aurais tendance à dire ok l’apéro, canon pour rester en lien !

Softer l’apéro

Dans nos verres, on y met :

– Jus de légumes (tomates est très en vogue), Si vous avez une centrifugeuse, c’est le moment de la sortir ! il y a tout un tas de cocktails sympas et plein de vitamines qui vous tiendront lieu d’entrée et qui équilibreront le repas.

– également les jus de fruits : additionnés d’une eau pétillante pour les rendre plus fun, et surtout moins sucrés (il y a souvent autant de sucre dans un verre de jus de pomme que dans un verre de soda).

– Les infusions, menthe, concombre-basilic, les infusions toutes prêtes, à boire chaudes ou froides, ajoutez y des framboises surgelées, fleurs d’hibiscus, ou des rondelles de fruit de saison… vraiment, on peut s’amuser avec !

Quant à la place des cacahuètes, hyper caloriques et si délicieuses ! Il suffit d’en mettre un petit bol et il se vide en un rien de temps ! Les noix de cajou, pareil, quoique pas du même budget, les pistaches, elles, ont au moins l’avantage d’être à décortiquer…  donc de prendre plus de temps. Les chips pareil ! Tellement rapides a partir ! Et pas très chères. Du moins pour le porte-monnaie, parce que pour le corps !! pffff  ! Il paie !!

Préférez les olives, les petits toasts que vous aurez préparés avec par exemple, une sardine, un petit suisse, une cuillère de moutarde et du thym, les crudités trempées dans un bol d’houmous maison ou de fromage blanc aux fines herbes, les tomates cerises (pas encore la période, attendez encore un ou deux mois), quelques lamelles de jambon sec…

Tenir compte de l’apéro dans l’équilibre du plat

Vous pouvez vous servir de l’apéro pour compléter votre repas et du coup, avoir quelque chose d’équilibré. Du cake salé à l’apéro complètera un potage et une compote en dessert, Si vous prenez les crudités trempées, vous aurez la dose de fibre et pourrez vous régaler d’un bon gratin de pâtes… et ainsi de suite

Et puis les cacahuètes, quand on les met dans une salade, cela apporte un croquant et un gout original.

En tout cas je trinque avec vous à une santé qui vous est chère, LA VOTRE !!

Pour des idées et des conseils pour une alimentation qui vous soit bonne, contactez Violaine Cook 

La tête dans le frigo

En cas d’ennui, ou de stress, ou de télétravail, ou sans raison, quand on reste à la maison, la plupart du temps, le frigo et les placards-épicerie deviennent de très bons amis, qu’il est facile de visiter. Ils nous réconfortent, nous distraient, satisfont des besoins de variété, de douceurs, de satiété, de gourmandise… et autres.

Grignotage

En cas d’ennui, ou de stress, ou de télétravail, ou sans raison, quand on reste à la maison, la plupart du temps, le frigo et les placards-épicerie deviennent de très bons amis, qu’il est facile de visiter. Il est facile d’être la tête dans le frigo plus souvent que nécessaire. Il nous réconforte, nous distrait, satisfait des besoins de variété, de douceurs, de satiété, de gourmandise… et autres. Le grignotage devient une belle habitude bien présente.

Les conséquences

Vous le savez, cette habitude a quelques conséquences, et pas seulement sur la taille de nos vêtements : cela mets aussi plein de nutriments supplémentaires dans notre organisme. Du coup, il y en a trop. Même le grignotage d’aliments dit sains entraine un surplus dans les comptes. Comme l’organisme est un bon comptable, il stocke : pas possible d’éliminer ce surplus en ce moment par une bonne dose d’exercices physiques. Et il stocke sous la peau, ou alors dans les artères, le foie, fatigue du coup les organes digestifs inutilement, et surchargent les autres de substances dont ils n’ont pas besoin.

Bon ok, le but de l’article n’est pas de vous amener un peu plus de culpabilité sur ce fait, je suis sure que votre petite voix vous l’a déjà dit.
L’avis du site manger-bouger sur le sujet

Astuces pour limiter les dégâts

Voici quelques pistes pour ouvrir les placards et frigo juste 3 fois par jour :

  • Manger à votre faim au repas. Faites de vrais repas. Un minimum de sucres lents et de fibres aide à oublier son estomac entre les repas.
  • Préparez votre repas : cela contribuera à une pause nécessaire et relaxante : choisir ce que vous mettez dans l’assiette implique d’écouter une envie, une faim (fraicheur, douceur, croquant, acide, sucré ?) Écouter aussi votre créativité, pour transformer des ingrédients en une assiette qui vous convienne. Très relaxant les activités récréatives.

Faites une pause

  • Faites des pauses récréatives. Le cerveau aime varier les activités et sait rester concentré en moyenne 90 min chez un sujet adulte, avec une chute de l’attention des 30 min. (sans mouche qui vole ou téléphone qui vibre). Il est donc tout à fait recommandé de faire une pause. Prétexter une cigarette ou une petite faim est inutile. Votre envie de pause est légitime.
    Cela peut-être respirer par la fenêtre, faire une caresse au chat/chien/lapin/ce que vous voulez, vous faire un thé, discuter, passer un coup de fil à un ami, chanter, danser … bref, plein de stratégies, même, celle de ne rien faire, de laisser un vide flotter : très sain. VOUS AVEZ DROIT À UNE PAUSE.
  • Mettre un mantra sur le placard-frigo tentant : « Tu as un corps parfait », «  Le corps qui te porte te remercie de prendre soin de lui », « je fais ce qui est bon pour moi », « j’ai le choix », « tout est comme cela doit être », « je suis fier de qui je suis »… bref un truc que vous avez envie d’entendre.
  • Ayez un verre d’eau à portée de main, ou une tasse d’infusion. Oui plutôt un verre qu’une bouteille, souvent trop grande, trop lourde, réutilisée 15 fois sans être lavée, et puis, il faut dévisser le bouchon, on la boit sans faire attention. Une jolie tasse, un verre dont on apprécie l’épaisseur ou la finesse… histoire de mettre un peu de sens avec vos sens. (Et puis, c’est bon pour la santé de boire des petites quantités tout au long de la journée). cela vous permettra également de bouger pour aller la remplir régulièrement.
  • Pensez à une petite collation à 16h (ou à 10h si vous n’avez pas déjeuné), du style, un fruit, quelques amandes 1 carré de chocolat, une tranche de pain. Les français mange souvent à 20h… cela vous évitera de vous jeter sur le fromage en préparant le repas.
  • Quand vous préparez un repas, doublez les doses : cela vous prendra le même temps ou presque et un des repas suivant, vous serez ravi de vous mettre les pieds sous la table.
  • Faites le ménage des placards et supprimer les éléments tentants que vous savez déraisonnables, quand vous faites les courses n’en n’achetez pas.
  • Faites-vous plaisir à table : ok pour la gourmandise : la gourmandise peut –être saine. Et équilibrer le reste du repas et de la journée.
  • Je vous invite à me contacter  pour vous accompagner dans la démarche.

Laquelle de ces stratégies vous paraît le plus facile à mettre en place ?

Un coup de main pour en mettre en place ?